Search for content, post, videos

Et je danse, aussi par Anne-Laure Bondoux et Jean-Claude Mourlevat

Résumé de la quatrième de couverture

Un mail comme une bouteille à la mer. D’ordinaire, l’écrivain Pierre-Marie Sotto ne répond jamais aux courriers d’admirateurs. Mais cette Adeline Parmelan n’est pas une « lectrice comme les autres ».

Quelque chose dans ses phrases, peut-être, et puis il y a cette épaisse et mystérieuse enveloppe qu’elle lui a fait parvenir – et qu’il n’ose pas ouvrir. Entre le prix Goncourt et la jeune inconnue, une correspondance s’établit qui en dévoile autant qu’elle maquille, de leurs deux solitudes, de leur secret commun…

chez Fleuve éditions – ISBN 978-2-266-26597-3

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Enregistrer

Les 5 raisons de lire ce livre

1 ▸ parce que c’est un livre qui paraît simplement plaisant et qui, à partir de la page 77, devient intrigant.

2 ▸parce que c’est un de ces livres qu’un gros bâillement à une heure du matin nous fait refermer face au sommeil en prévision d’un réveil difficile.

3 ▸ parce qu’il se lit tout seul, le style d’écriture y est simple et sympathique.

4 ▸ parce que les changements continuels de narrateur dans ce roman épistolaire ne gênent pas la lecture mais au contraire la rythment.

5 ▸ parce que le découpage de ce livre en plus ou moins longs mails permet de le glisser dans son sac avec la possibilité d’en picorer un morceau à tout moment.

* J’ajoute quand même une sixième raison : il y a Jean-Claude Mourlevat parmi les deux auteurs de ce roman à quatre mains. Après avoir été émerveillée par son roman jeunesse « L’enfant Océan », voilà que je tombe sur ce roman dans le secteur adulte. Je n’ai pu résister à l’envie de savoir si cet auteur me plairait encore. La réponse est oui !

Moment de lecture

Chère étonnante Adeline,

Il neige ici ce matin. Une vraie belle neige qui tombe droite et silencieuse. Tiens, en voilà une, raison de trouver que la vie est belle ! […] La troisième, donc, sera cette neige qui nous surprend au matin, derrière la fenêtre, qui transfigure en blanc la campagne devant chez nous, ou le trottoir, ou les arbres, ou les toits d’usine, qu’importe. Voilà, c’est ça : une raison de trouver que la vie est belle, c’est de pouvoir un matin annoncer à celui, celle, ceux qui ne sont pas encore debout, ou à soi-même si on est seul, cette nouvelle en trois mots : il a neigé.

Bonne lecture !

Enregistrer

Enregistrer

Laissez-moi un message

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués par un *